Les pics

Les hautes montagnes à la neige éternelle semblaient se défier les unes les autres pour savoir qui allait dominer de son opposante ombres. Parmis elle se dressait un montagne au sommet applanis comme si depuis des siècles elle avait former un petit réceptable pour les oiseaux, mais l'oiseau qui se tenait ne semblait pas profiter de la vu d'ensemble qu'elle avait sur toute la ville. Ses yeux de glace semblaient emplis d'une douce et tortueuse mélancolie. Maîtresse des âmes pleurantes, la détresse dans sa chair mertrie par la peine et la douleur, la femme sans âge laissa couler ses larmes.

Où était sa chaleur? Sa raison de ne pas s'abandonner au doux néant de la mort n'était pas là pour la réconforter. Pour l'étreindre et lui murmurer que tout irais bien. Qu'ils retrouveraient leur demeurent perdue auprès de Lui. Plus que jamais, elle souhaitait pouvoir Le revoir. Tendre la main et toucher sa peau de soleil et de chaleur. Pouvoir s'endormir dans Ses bras et connaitre l'éternel réconfort.

Se recrovillant sur la neige, ses ailes de ruby replier comme pour la portèger d'un ennemi invisible, elle pria pour que la douleur qu'elle ressentait disparraisse enfin et la laisse dormir du sommeil profond du nouveau-née.

Tôkko==> tu ne pas le droit de mettre de la couleur à moins de me l'avoir demander avant!Et surtout pas le rouge ni le vert car c'est pour les animaux!

/me s'approche de la femme

"bonjour!"

Je relevai la tête doucement et lorsque je plongeai mon regard dans ceux la femme qui venait de m'interpeller, nul trace de mes larmes ne parraissait. Une puissante ora maléfique l'entourait, la même qu'Il m'avait conférer lorsqu'Il m'avait envoyer, bannie, en ce bas monde. D'un voix sans timbre, je répondis à son apelle.

- Et bien. Que me vaut l'honneur de vous rencontrer? Vous ne semblez pas vous rapellez de moi. À moin que seule moi vous est apperçu. Mes souvenirs sont flous. Il ne semblait pas avoir préter attention à se qui trottait dans ma tête dans ma tête.

Je passai délibérément un main dans mes cheveux auburn et laissai un soupir quité le refuge de mes lèvres pour atteindre celle qui je savais, gouvernait les êtres maléfiques. Se que j'étais, avec horreur, devenu.

- Pardonner mon manque de politesse, mais se n'es que naturel. J'ai toujours été ainsi depuis ma naissance.